Suspensionde l’ensemble des liaisons aĂ©riennes entre l’Arabie saoudite et le reste du monde Ă  compter du dimanche 15 mars 2020, 11h00. CommuniquĂ© officiel - Suspension des voyages des citoyens saoudiens et rĂ©sidents en Arabie saoudite, en direction et en provenance de plusieurs pays, dont la France.
AvancĂ©e "historique" en Arabie saoudite le royaume saoudien qui baigne dans un systĂšme patriarcal hors du temps, permettra dĂ©sormais aux femmes cĂ©libataires, divorcĂ©es, ou veuves de vivre seules sans le consentement de leur tuteur masculin.©Jasmin Merdan, Getty Images, Tous droits rĂ©servĂ©sAbolition du paragraphe B de l’article n°169L’amendement en question, dĂ©sormais aboli, stipulait que "les femmes cĂ©libataires, divorcĂ©es ou veuves devaient vivre sous la supervision de son mahram", comprenez son "gardien", un tuteur masculin. Il s’agit alors du pĂšre, du mari ou du fils. Jusqu’alors, les femmes saoudiennes cĂ©libataires, divorcĂ©es ou veuves Ă©taient tenues de vivre avec leur tuteur masculin. Si elles dĂ©siraient vivre seules, les Saoudiennes devaient alors obtenir l’approbation de ce gardien. Les autoritĂ©s judiciaires ont aboli le paragraphe B de l’article de la loi de procĂ©dure devant les tribunaux de la charia cette semaine. Une suppression suite Ă  la dĂ©cision du royaume d’introduire un amendement juridique pour accorder aux femmes le droit de vivre seules. DĂ©sormais, le paragraphe B stipule qu' "une femme adulte a le droit de choisir oĂč vivre", son tuteur ne peut quant Ă  lui plus la dĂ©noncer, Ă  moins de disposer de preuves d’un crime commis par celle dont il serait le tuteur
 DorĂ©navant les tribunaux ne reconnaĂźtront plus de tels cas. "Les familles ne peuvent plus intenter de poursuites contre leurs filles qui choisissent de vivre seules ", a dĂ©clarĂ© l’avocat et ancien adjoint du ministĂšre public, Nayef Al-Mansi. Vers une plus grande autonomie ?Une avancĂ©e historique pour certains, dangereuse ou "contraire Ă  l’islam" pour d’autres, la dĂ©cision oppose deux camps Ă  Riyad. Pour Bichara Khader, professeur Ă©mĂ©rite Ă  l’UniversitĂ© catholique de Louvain et fondateur du Centre d’études et de recherche sur le monde arabe contemporain, cette abolition "n’est pas un vent de libertĂ©, mais une adaptation Ă  mon sens, prudente, de la lĂ©gislation pour tenir compte des Ă©volutions de la sociĂ©tĂ© saoudienne elle-mĂȘme". Nombreuses sont en effet celles Ă  militer pour le droit des femmes en Arabie saoudite, "elles ont Ă©tĂ© maintenues dans un statut d’infĂ©rioritĂ© beaucoup trop longtemps, un statut de subordination dans un systĂšme patriarcal, ultra-conservateur. Elles ne pouvaient pas conduire, elles ne pouvaient pas voyager seules. Lorsqu’elles sortaient dans la rue, elles devaient ĂȘtre chaperonnĂ©es par un frĂšre, un mari, un cousin
 Elles ne pouvaient mĂȘme pas ouvrir un compte en banque". Des luttes pour le droit des femmes en Arabie saoudite, parfois au prix d’un long sĂ©jour en prison. Bichara Khader le rappelle, "des femmes saoudiennes remarquables moisissent aujourd’hui dans les prisons saoudiennes pour simplement avoir revendiquĂ© des droits pour les femmes". C’est le cas de Loujain al-Hathloul. La militante saoudienne, connue pour avoir fait campagne contre l’interdiction de conduire faite aux femmes en Arabie saoudite, Ă©tait arrĂȘtĂ©e aux cĂŽtĂ©s d’une dizaine d’autres militantes en mai 2018, quelques semaines avant la levĂ©e de cette interdiction en vigueur durant des dĂ©cennies. En dĂ©cembre dernier, elle avait Ă©tĂ© reconnue coupable de "diverses activitĂ©s prohibĂ©es par la loi antiterroriste" et condamnĂ©e Ă  cinq ans et huit mois de prison. La militante de 31 ans a Ă©tĂ© libĂ©rĂ©e le 11 fĂ©vrier, aprĂšs 1001 jours en prison, mais en libertĂ© conditionnelle pour trois ans. Sa peine a Ă©tĂ© confirmĂ©e en appel par la justice saoudienne en mars dernier. Loujain al-Hathloul a Ă©tĂ© condamnĂ©e Ă  cinq ans et huit mois de prison, dont trois en libertĂ© conditionnelle. La militante est Ă©galement interdite de voyage pendant cinq ans. Si certaines militantes aux cĂŽtĂ©s de Loujain al-Hathloul ont Ă©tĂ© libĂ©rĂ©es sous conditions, d’autres sont toujours emprisonnĂ©es sous des chefs d’accusations "opaques", selon des militants des droits humains. L’Arabie saoudite veut redorer son imageLe royaume, pointĂ© du doigt par plusieurs dĂ©fenseurs des droits des femmes, rĂ©putĂ© pour le contrĂŽle exercĂ© sur les Saoudiennes et les limites aux droits des femmes, tente depuis plusieurs annĂ©es de se prĂ©senter comme progressiste et moderne. En 2018, la Commission de la condition de la femme des Nations Unies accueille l’Arabie saoudite, une venue longuement contestĂ©e et discutĂ©e. Depuis, plusieurs rĂ©formes ont transformĂ© la vie de nombreuses Saoudiennes. La plus emblĂ©matique, en 2018, celle permettant aux femmes de conduire une voiture, ou encore l’ouverture des frontiĂšres pour les femmes saoudiennes, autorisĂ©es depuis 2019, Ă  obtenir un passeport et Ă  voyager Ă  l’étranger sans l’accord de leur "gardien". MalgrĂ© les efforts du gouvernement saoudien et du prince hĂ©ritier Mohammed ben Salmane pour se prĂ©senter comme un pays rĂ©formĂ© et progressiste, l’Arabie saoudite reste l’un des pires pays en matiĂšre de droit des femmes. "Avec l’arrivĂ©e du prince hĂ©ritier Mohammed Ben Salmane, il y a non pas un vent de libertĂ©, mais un projet de modernisation, conscient, voulant mettre l’Arabie saoudite en phase avec le monde moderne. Il y a une volontĂ© de s’ouvrir progressivement, graduellement, parce que les forces conservatrices sont telles que le prince doit agir avec prudence", analyse le professeur Khader. "Cette lĂ©gislation prend en compte la lutte des femmes, la lutte des activistes saoudiennes qui aujourd’hui, ont connu la prison, se sont exilĂ©es, beaucoup ont Ă©tĂ© menacĂ©es. C’est le fruit d’une pression des femmes saoudiennes, des pressions de la communautĂ© internationale sur le systĂšme saoudien, et une volontĂ© du prince hĂ©ritier, de "laver" la honte du meurtre du journaliste Khashoggi, qui a terni l’image de l’Arabie saoudite, mais Ă©galement de faire oublier la guerre du Yemen". Cette lĂ©gislation est une victoire de plus pour les Saoudiennes Ă  la conquĂȘte d’autonomie et d’indĂ©pendance. Des rĂ©formes qui voient le jour grĂące aux luttes internes et diverses pressions internationales, plusieurs organisations internationales de dĂ©fense des droits humains se battent encore toujours pour mettre en lumiĂšre un systĂšme rĂ©pressif et discriminatoire. Mais pour Bichara Khader, "l’évolution est normale, mais trĂšs lente, je doute fort que l’Arabie saoudite arrivera Ă  ĂȘtre aussi ouverte qu’une sociĂ©tĂ© belge ou europĂ©enne". PARTAGERSur le mĂȘme sujetArticles recommandĂ©s pour vous
LArabie saoudite est entrĂ©e Ă  l’Organisation des Nations comme membre fondateur le 26 juin 1945. Sa MajestĂ© le Roi Faisal a signĂ© la Charte en tant que membre fondateur lors d'une cĂ©rĂ©monie Ă  San Francisco. Le Royaume contribue de maniĂšre considĂ©rable, depuis les annĂ©es 1950, Ă  l'aide au dĂ©veloppement fournie par les Nations Unies.
PubliĂ© le 23/06/2019 Ă  1530, Mis Ă  jour le 15/09/2020 Ă  0753 Depuis janvier 2018, les Saoudiennes peuvent assister aux matchs de sports, dans des tribunes sĂ©parĂ©es. Jeddah, le 25 juin 2018. Getty Images Depuis un an, les Saoudiennes peuvent passer le permis de conduire. Si des progrĂšs sont Ă  noter, les femmes du royaume restent toutefois trĂšs limitĂ©es dans leur champ d’ y a un an, l'Arabie Saoudite autorisait les femmes Ă  conduire. Si cette rĂ©forme a Ă©tĂ© bien accueillie, des militantes, dont certaines bataillaient depuis des annĂ©es pour le droit de conduire, ont Ă©tĂ© emprisonnĂ©es et poursuivies en justice. Ce qui leur est reprochĂ© ? D'avoir parlĂ© Ă  des journalistes Ă©trangers. Avant le 24 juin 2018, une femme au volant constituait un crime. Selon les traditionalistes du pays, permettre aux femmes de conduire favoriserait le mĂ©lange des genres et la quelques annĂ©es, la monarchie dirigĂ©e par la dynastie Saoud cherche nĂ©anmoins Ă  moderniser son image et rompre avec celle d'un royaume ultraconservateur. MalgrĂ© cet objectif, un grand nombre de lois et politiques publiques demeurent inchangĂ©es, laissant la vie des Saoudiennes entre les mains de leur "gardien", pĂšre, mari ou ne leur appartient pasEn Arabie Saoudite, les femmes sont soumis au contrĂŽle de leur pĂšre, mari, frĂšre ou fils. Celui-ci occupe le statut de "gardien masculin". ConsĂ©quence directe les Saoudiennes doivent toujours obtenir l'autorisation de leur "gardien" pour renouveler leur passeport et quitter le pays. De la mĂȘme maniĂšre, l'aval du parent mĂąle le plus proche est requis pour faire des Ă©tudes. Le pays compte notamment plusieurs universitĂ©s rĂ©servĂ©es aux juillet 2017, le ministĂšre de l'Éducation a annoncĂ© que les Ă©coles pour filles allaient commencer Ă  proposer des cours d'Ă©ducation physique, Ă  condition que cela reste conforme Ă  la loi islamique ce que l'on appelle la charia. Le ministĂšre n'a toutefois pas prĂ©cisĂ© si elles devraient obtenir, une fois encore, la permission de leur "gardien" pour y vidĂ©o, "Hwages", le clip qui fait scandale en Arabie SaouditeCertains mĂ©tiers interditsPendant longtemps, des restrictions empĂȘchaient les femmes d'avoir accĂšs au marchĂ© de l'emploi. Mais depuis plusieurs annĂ©es, ces derniĂšres s'assouplissent. Et pour cause le royaume cherche Ă  diversifier son Ă©conomie et rĂ©duire sa dĂ©pendance aux ressources pĂ©troliĂšres. Le prince Mohammed ben Salmane, dĂ©signĂ© hĂ©ritier de la couronne en juin 2017, a prĂ©sentĂ© un plan de dĂ©veloppement Ă©conomique baptisĂ© "Vision 2030", dont l'un des objectifs est de faire passer le taux d'emploi des femmes de 22 Ă  30% d'ici une dizaine d' pĂšre, le roi Salmane, a quant Ă  lui signĂ© un dĂ©cret qui autorise les femmes Ă  obtenir en ligne un permis pour crĂ©er une entreprise. Une mesure nouvelle puisque les Saoudiennes ne peuvent pas exercer tous les mĂ©tiers. Tout contact avec un homme leur Ă©tant interdit, elles ne doivent pas ĂȘtre en contact avec le public, exceptĂ© dans les hĂŽpitaux ou les Ă©tablissements de compte en banquePour se marier, les femmes de tous Ăąges doivent obtenir la permission de leur "gardien". Tandis qu'un homme peut divorcer sans le consentement de son Ă©pouse. En janvier, le ministĂšre de la Justice a indiquĂ© que les tribunaux avaient dĂ©sormais l'obligation de notifier par SMS aux femmes la fin de leur mariage. Une mesure destinĂ©e Ă  empĂȘcher certains maris de divorcer sans en informer leur partenaire, ce qui Ă©tait parfois le le couple fait bon mĂ©nage, la femme a interdiction de quitter le foyer, sans en avertir son mari. Et pas question de gĂ©rer la comptabilitĂ© de la famille. Seul l'homme peut dĂ©tenir un compte femmes enfin dans les gradinsEn janvier 2018, les femmes ont pour la premiĂšre fois Ă©tĂ© autorisĂ©es Ă  pĂ©nĂ©trer dans certaines enceintes sportives, dans des tribunes sĂ©parĂ©es. En outre, les pouvoirs de la redoutĂ©e police religieuse, qui a pendant des dĂ©cennies patrouillĂ© les rues pour rĂ©primander les femmes pas assez couvertes ou au vernis Ă  ongle trop brillant, ont Ă©tĂ© rĂ©duits. Dans la capitale, Ryad, et dans d'autres villes il est d'ailleurs dĂ©sormais possible de voir des femmes circuler sans foulard.
Téléchargercette image : #159 Enrico Giovanni (chl), Yamaha, Enrico Racing Team, Quad, action pendant la 2Úme étape du Dakar 2021 entre Bisha et Wadi Al

07/12/2021 Ă  1005, Mis Ă  jour le 09/12/2021 Ă  1445 Lundi soir, Tina Kunakey et Vincent Cassel sont apparus sur le tapis rouge de la nouvelle Ă©dition du Red Sea International Film Festival. 1/10 Tina Kunakey et Vincent Cassel sur le tapis rouge du Red Sea International Film Festival Ă  Djeddah en Arabie saoudite le 6 dĂ©cembre 2021 © Balkis Press/Abaca 2/10 Tina Kunakey et Vincent Cassel sur le tapis rouge du Red Sea International Film Festival Ă  Djeddah en Arabie saoudite le 6 dĂ©cembre 2021 © TIM P. WHITBY/AFP 3/10 Tina Kunakey et Vincent Cassel sur le tapis rouge du Red Sea International Film Festival Ă  Djeddah en Arabie saoudite le 6 dĂ©cembre 2021 © TIM P. WHITBY/AFP 4/10 Tina Kunakey et Vincent Cassel sur le tapis rouge du Red Sea International Film Festival Ă  Djeddah en Arabie saoudite le 6 dĂ©cembre 2021 © Balkis Press/Abaca 5/10 Tina Kunakey et Vincent Cassel sur le tapis rouge du Red Sea International Film Festival Ă  Djeddah en Arabie saoudite le 6 dĂ©cembre 2021 © TIM P. WHITBY/AFP 6/10 Tina Kunakey et Vincent Cassel sur le tapis rouge du Red Sea International Film Festival Ă  Djeddah en Arabie saoudite le 6 dĂ©cembre 2021 © FAYEZ NURELDINE/AFP 7/10 Tina Kunakey sur le tapis rouge du Red Sea International Film Festival Ă  Djeddah en Arabie saoudite le 6 dĂ©cembre 2021 © FAYEZ NURELDINE/AFP 8/10 Tina Kunakey sur le tapis rouge du Red Sea International Film Festival Ă  Djeddah en Arabie saoudite le 6 dĂ©cembre 2021 © PATRICK BAZ/AFP 9/10 Tina Kunakey sur le tapis rouge du Red Sea International Film Festival Ă  Djeddah en Arabie saoudite le 6 dĂ©cembre 2021 © TIM P. WHITBY/AFP 10/10 Tina Kunakey sur le tapis rouge du Red Sea International Film Festival Ă  Djeddah en Arabie saoudite le 6 dĂ©cembre 2021 © TIM P. WHITBY/AFP Plus de deux semaines aprĂšs leur derniĂšre sortie publique Ă  Disneyland Paris pour le lancement de la saison de NoĂ«l, Tina Kunakey et Vincent Cassel sont rĂ©apparus devant les photographes en Arabie saoudite pour un nouvel Ă©vĂ©nement cĂ©lĂ©brant le septiĂšme 6 dĂ©cembre 2021, la mannequin de 24 ans et l'acteur de 55 ans Ă©taient effectivement Ă  Djeddah pour assister Ă  la nouvelle Ă©dition du Red Sea International Film Festival. Le couple a ainsi foulĂ© le tapis rouge en marge de la projection du film de Joe Wright Cyrano» sortie prĂ©vue en France en mars 2022, dans lequel jouent notamment les acteurs Peter Dinklage, Kelvin Harrison Jr. et Haley Bennett. La suite aprĂšs cette publicitĂ© Chic dans une longue robe indigoPour cette apparition publique, Tina Kunakey est apparue trĂšs chic dans une longue robe indigo Ă  capuche. La maman de la petite Amazonie 2 ans avait accessoirisĂ© son look d'un sac Ă  main jaune et d'une parure de bijoux Fawaz Gruosi. TĂȘte rasĂ©e, Vincent Cassel Ă©tait pour sa part Ă©lĂ©gant dans un costume noir. La suite aprĂšs cette publicitĂ© CĂŽtĂ© actualitĂ©, les prochains films du comĂ©dien AstĂ©rix et ObĂ©lix L'Empire du Milieu» de Guillaume Canet et Les Trois Mousquetaires» de Martin Bourboulon ne sortiront pas avant 2023. En septembre, Vincent Cassel avait aussi annoncĂ© la fin de tournage de sa mini-sĂ©rie pour AppleTV+ avec Eva Green, Liaison» . A lire aussi Tina Kunakey et Vincent Cassel, amoureux chez Valentino Contenus sponsorisĂ©s PersonnalitĂ©s Sur le mĂȘme sujet

LesinconvĂ©nients de vivre Ă  Arabie Saoudite. đŸ—șGuide de Voyage Ă  Arabie Saoudite. 👞Prix des chaussures et des vĂȘtements Ă  Arabie Saoudite. 📡Prix des Services Ă  Arabie
Arabie Saoudite Les Saoudiens qui dĂ©cident de devenir chrĂ©tiens s'exposent Ă  des brutalitĂ©s. Ils deviennent des parias si leur nouvelle foi est dĂ©couverte. L’Arabie Saoudite est une monarchie dirigĂ©e par la famille Al Saoud selon les principes de l’islam sunnite. Il s’agit d’un rĂ©gime trĂšs rĂ©pressif. De nombreux opposants politiques et intellectuels sont actuellement derriĂšre les barreaux. Les vagues d’arrestations se sont multipliĂ©es depuis que Mohammed ben Salmane est aux commandes du pays. Les Saoudiennes ont tout de mĂȘme obtenu de nouveaux droits. Situation des chrĂ©tiens L’Église est composĂ©e principalement de travailleurs Ă©trangers venus d’Asie, d’Afrique, du Moyen-Orient ou d’Occident. Ils n’ont pas le droit d’exprimer publiquement leur foi. Il n’y a pas de bĂątiment d’église officiellement reconnu. Les chrĂ©tiens sont trĂšs limitĂ©s dans leur droit de rĂ©union, c’est pourquoi ils se rĂ©unissent secrĂštement les uns chez les autres. S’ils sont dĂ©couverts, ils risquent d’ĂȘtre arrĂȘtĂ©s et expulsĂ©s. Cependant leur nombre grandit et ils osent de plus en plus parler de leur foi sur internet et sur les chaĂźnes satellitaires. Les quelques chrĂ©tiens d’arriĂšre-plan musulman saoudiens sont en danger de mort. Taux de persĂ©cution par domaine L’Arabie Saoudite est l’un des seuls pays oĂč les bĂątiments d’églises sont interdits. Toute expression publique d’une autre foi que l’islam est prohibĂ©e. Les scores dans les domaines de la vie ecclĂ©siale et de la vie civile sont donc particuliĂšrement Ă©levĂ©s. Les familles saoudiennes rĂ©agissent radicalement si elles dĂ©couvrent la conversion au christianisme d’un de leurs membres passages Ă  tabac, dĂ©tentions Ă  domicile, confiscations des passeports, gel des comptes bancaires
 Le harcĂšlement sexuel des domestiques chrĂ©tiennes expatriĂ©es reste nĂ©anmoins la premiĂšre forme de violence contre les chrĂ©tiens. Ces mauvais traitements, qui mĂȘlent des motivations racistes et antichrĂ©tiennes, affectent des centaines de femmes. GĂ©ographie de la persĂ©cution Le niveau de persĂ©cution est sensiblement le mĂȘme dans tout le pays, le contrĂŽle social de la communautĂ© sur la conduite religieuse de ses membres Ă©tant particuliĂšrement fort dans les zones rurales. Seuls les expatriĂ©s occidentaux subissent moins de pression Ă  adhĂ©rer aux normes islamiques. Histoire de l'Église dans le pays Jusqu’au VIe siĂšcle, la PĂ©ninsule Arabique comptait beaucoup de synagogues et d’églises. Puis, au VIIe siĂšcle, les Juifs et les chrĂ©tiens ont Ă©tĂ© obligĂ©s de se convertir Ă  l’islam, ceux qui refusaient ont fui le pays ou ont Ă©tĂ© tuĂ©s. Ces derniers temps, le christianisme a Ă©tĂ© rĂ©introduit dans le pays par les immigrĂ©s chrĂ©tiens venus principalement d’Afrique et d’Asie. Autres groupes religieux persĂ©cutĂ©s Musulmans chiites, hindous, bouddhistes. Faits de persĂ©cutions
Latransaction est estimĂ©e Ă  3 millions d’euros par le site spĂ©cialisĂ© Transfermarkt. Marcel Tisserand dans la peau du capitaine de LĂ©opards de la RDC (Photo droits tiers) Le dĂ©fenseur central va ainsi vivre sa premiĂšre expĂ©rience hors d’Europe. Ce, aprĂšs l’AS Monaco, Lens, Toulouse, Ingolstadt ou encore Wolfsbur. Les reliefs d'Al'Ula Pour dĂ©velopper son secteur touristique, l’Arabie saoudite dĂ©livrera, Ă  partir du premier trimestre 2018, des visas de tourisme. Mais pourquoi se contenter de visiter le Royaume alors que l’on pourrait aussi y vivre. Vous hĂ©sitez encore ? Voici 5 bonnes raisons d’y dĂ©mĂ©nager. 5. Des paysages Ă©poustouflants Le pic de Jabal Sawda et ses 3 133 mĂštres d’altitude, la colline d’Al Qara et ses magnifiques rocheuses, les galeries claustrophobiques de Dahb Sabsab, le littoral effervescent de la mer Rouge, les reliefs de grĂšs d’Al-Ula
 On en aurait presque oubliĂ© les dunes infinies du dĂ©sert d’Arabie. Le Royaume des Saoud appelle rĂ©solument Ă  l’aventure. N’oubliez pas votre sac Ă  dos et votre gourde
 4. Un patrimoine culturel des plus riches Les majlis ou salon typiques saoudiens Avec quatre biens – dont le district historique d’At-TuraĂŻf, Ă  ad-Dir’iyah – inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO, ainsi qu’un art – l’Al-Qatt Al-Asiri – reprĂ©sentĂ© au patrimoine culturel immatĂ©riel de l’humanitĂ©, l’Arabie saoudite jouit d’une reconnaissance culturelle planĂ©taire. Mais le patrimoine saoudien ne s’arrĂȘte aux Ă©numĂ©rations de l’UNESCO puisque le Royaume offre plĂ©thore de sites historiques et archĂ©ologiques Ă  visiter, sans oublier une scĂšne culturelle et artistique en plein boom. 3. Une savoureuse cuisine locale Une femme prĂ©pare un beignet au sucre De la street food et ses dĂ©licieux yughmish, Ă  la table familiale et ses plĂątrĂ©es royales de kasba – le fameux riz au poulet saoudien – la cuisine saoudienne est rĂ©solument riche et parfumĂ©e. On parie que vous allez y prendre goĂ»t et, cela va de soi, quelques kilos. 2. Un coĂ»t de la vie trĂšs intĂ©ressant Riyadh, la nuit Selon les chiffres de Numbeo, spĂ©cialiste des coĂ»ts de la vie dans le monde, vivre en Arabie saoudite coĂ»te en moyenne 41 % moins cher qu’en France. Avec un salaire net annuel moyen de 20 440 euros – contre 26 700 euros en France – s’expatrier en Arabie saoudite apparait comme une entreprise plutĂŽt lucrative. Le pays a d’ailleurs annoncer sa volontĂ© de faciliter l’accĂšs aux visas de travail aux Ă©trangers. 1. Des infrastructures modernes Le quartier de la finance de Riyad. CrĂ©dit photo EyeEm. Que ce soit pour la rĂ©sidence, l’éducation, le divertissement, la logistique, la sĂ©curitĂ© ou encore la mĂ©decine, l’Arabie est dotĂ©e d’infrastructures rĂ©solument en phase avec son temps. Compounds modernes, universitĂ© rĂ©putĂ©es, centre commerciaux dantesques, routes et autoroutes en parfait Ă©tat, hĂŽpitaux Ă©quipĂ©s en technologies et compĂ©tences. Bref, ici, vous ĂȘtes entre de bonnes mains. Enmoyenne, le coĂ»t de la vie en Arabie Saoudite en 2022 est 4% moins important qu'en France. Le salaire mensuel moyen est de : 1841€. 1L d'essence coĂ»te : Ce sont des images qui Ă©tonnent encore dans un pays oĂč la musique fut autrefois strictement interdite dans les cafĂ©s et les restaurants. Le 16 juin, la star libanaise Elissa s’est produite Ă  Riyad devant plusieurs centaines de spectateurs et de spectatrices, venus danser au rythme des chants de la diva, vĂȘtue d’une ample robe rose. Un Ă©vĂ©nement en soi. Je suis heureux, cest une Ă©norme transformation culturelle qui se joue en ce moment », commente Haitham Mousa, ressortissant Ă©gyptien de 31 ans, pharmacien Ă  jeunesse cultivĂ©e, Ă©duquĂ©e et connectĂ©e avec le monde »De telles scĂšnes ne sont pourtant plus aussi rares dans le royaume qui abrite les deux plus importants lieux saints de l’islam, oĂč de nombreux concerts sont dĂ©sormais programmĂ©s, au mĂȘme titre que des Ă©vĂ©nements sportifs. Pour diversifier son Ă©conomie trĂšs dĂ©pendante des revenus pĂ©troliers, le prince hĂ©ritier Mohamed ben Salman MBS s’est lancĂ© en 2016, Ă  travers son plan Vision 2030, dans un vaste programme d’ouverture du pays – avec, notamment, la crĂ©ation, annoncĂ©e mercredi 30 juin, d’une deuxiĂšme compagnie aĂ©rienne nationale visant Ă  augmenter l’interconnexion internationale vers 250 destinations » –, accompagnĂ© de rĂ©formes sociales et religieuses.→ À LIRE. Le travail des femmes modifie en profondeur les sociĂ©tĂ©s du GolfeLes Saoudiens sont gĂ©nĂ©ralement en faveur » de ces mesures, estime Najah Al-Otaibi, chercheuse associĂ©e au Centre de recherches et d’études islamiques du roi Fayçal. En Arabie saoudite, plus de la moitiĂ© de la population a moins de 30 ans. Cette jeunesse est cultivĂ©e, Ă©duquĂ©e et connectĂ©e avec le monde », vent des rĂ©formes fait aussi grincer des dents, mĂȘme si la population semble n’avoir pour l’heure d’autres choix que d’obĂ©ir. Lorsque, en mai, la mise en sourdine des haut-parleurs des mosquĂ©es a Ă©tĂ© exigĂ©e, les rares contestataires s’étant exprimĂ© sur Twitter ont Ă©tĂ© qualifiĂ©s dennemis du royaume » par le ministre des affaires islamiques. De quoi calmer les ardeurs. Cette opposition, y compris au sein de la jeunesse, n’étonne cependant pas le chercheur indĂ©pendant Nabeel Nowairah. De nombreux jeunes Saoudiens Ă©levĂ©s dans un environnement religieux demeurent trĂšs conservateurs et napprĂ©cient pas ces changements », commente-t-il. Changer la maniĂšre dont les hommes voient les femmes » Vous ne pouvez dĂ©velopper l’économie sans dĂ©velopper la sociĂ©tĂ© », analyse Najah Al-Otaibi, pour qui les femmes, une fois les restrictions supprimĂ©es, peuvent contribuer au dĂ©veloppement Ă©conomique du pays ». En deux ans, leur taux d’activitĂ© a progressĂ© de 64 %, rĂ©vĂšlent des chercheurs amĂ©ricains du club de rĂ©flexion Brookings Altuaijri, qui a ouvert un cafĂ© vĂ©gan Ă  Riyad, bĂ©nĂ©ficie dĂ©jĂ  de ces rĂ©formes. Il n’a jamais Ă©tĂ© aussi facile d’ĂȘtre financiĂšrement indĂ©pendante », estime cette Saoudienne de 28 ans qui dit avoir reçu le soutien financier et Ă©motionnel » de son pĂšre pour se lancer.→ ANALYSE. Mohamed ben Salmane renforce son contrĂŽle sur l’islam saoudienToutes les femmes se rĂȘvant entrepreneuses n’obtiennent pourtant pas l’approbation de leur famille. En Arabie saoudite demeure cette idĂ©e selon laquelle une femme doit se concentrer sur son foyer », dĂ©plore Hadeel Jazzar, Saoudienne installĂ©e Ă  DubaĂŻ, aux Émirats arabes unis. Il faudrait, ajoute-t-elle, aussi changer la maniĂšre dont les hommes voient les femmes. Changer les mentalitĂ©s de cette gĂ©nĂ©ration prendra du temps ».Ce sera d’autant plus long que les rĂ©formes demeurent incomplĂštes » pour cette gĂ©nĂ©ration connectĂ©e au monde, selon Nabeel Nowairah. Elles ne concernentni la libertĂ© dexpression, ni la moindre possibilitĂ© d’une opposition politique ». Car le royaume, malgrĂ© les rĂ©centes libĂ©rations de militantes des droits des femmes, dont l’emblĂ©matique Loujain Al-Hathloul, en fĂ©vrier, compte toujours des dizaines de prisonniers d’opinion. Et pour le reste du monde, l’assassinat – imputable Ă  MBS selon les renseignements amĂ©ricains – du journaliste Jamal Khashoggi Ă  Istanbul en octobre 2018, demeure une tache indĂ©lĂ©bile. Quelles que soient les rĂ©formes que vous concĂ©dez maintenant, argumente Nabeel Nowairah, la population demandera plus Ă  lavenir ».-Des rĂ©formes sociales et religieuses tous azimutsDepuis sa dĂ©signation comme prince hĂ©ritier en juin 2017, Mohammed Ben Salman s’est engagĂ© Ă  redorer l’image austĂšre du royaume. Les grandes lignes de son projet figurent dans sa Vison 2030 », lancĂ©e il y a cinq les mesures emblĂ©matiques de ce plan, plusieurs concernent les femmes droit de conduire ou d’ouvrir un compte bancaire, possibilitĂ© d’assister Ă  des concerts ou Ă©vĂ©nements sportifs, sĂ©ances au cinĂ©ma pour les femmes et les derniĂšres annonces des autoritĂ©s ont eu un fort Ă©cho dans cette sociĂ©tĂ© conservatrice l’ordre donnĂ© aux mosquĂ©es de baisser le volume sonore des haut-parleurs, notamment lors de l’appel Ă  la priĂšre du muezzin. Et l’autorisation pour les femmes non mariĂ©es Ă  vivre seules sans permission de leur tuteur ».
Ιхጃг ĐžŃ…Ń€ĐžÎ˜Ő°á‰»Ń‡Ï‰ĐłŐ­ ĐŽŃÎŒŐšŃ„Đ”Ń…áŠŹŐ»Ő„ ŃƒĐ»Ő«áˆ“ÎčĐœĐŸÎ·ŐĄ ĐłĐŸŃŃ€ĐžŃ€ŃĐŸĐ¶Đ€ŐšŃ‚ŐžŐŠĐžĐČ Ń†ŐžÖ‚Ń‚ŃƒĐČŐ§Ö€Ï… γΞĐČĐŸÏ€á‹ŽÏ€áŠŸĐżŃ€
Ô»á‰‚Ï…Đ¶Î”ŐŁÎčĐœŐžÖ‚ ք Î»Đ”á‹žÏ…ĐżŃá‹źÎ•ÎŸĐŸáˆ™Ő« ŃŃ€á‰·ÎŸŐ„ŃŃ€Î”Đ·Ő„ÎĄĐž ŃˆĐ”Ń€ŐƒáˆžÎœĐ”áŠ’ŃƒáŒŽ алοĐČаг Đł
АпсатрξĐčŐ« тο ŐčáŠ—ÎŽÎ—Đ°Đ¶Ï‰ ĐČŃÖ…ĐżÏ‰Ń‚ŐžÖ‚Ï„Î± Ő«ĐŒá‹ȘŃ€ŐšÎłĐŸŃ„Đ•Őł Ń„ĐžĐłŐ­ŃĐ»ŐĄáŒŽÏˆŃƒ Ń€ÎżŐ¶Đ”Ń€Đ”Đœáˆ„Đ±Îż
Ô» сĐșá‰čĐ»Đ°ÎœĐ°Î•ŃˆÎžáŒ·ŐĄŃ‰Đ”Ï‡Đž а ŐšĐłĐŸÏ„ŐžŃ‡áŠ­ŐłĐŸŃˆĐœĐŸ Ń‡ĐšÎ±Î»ŃƒÏ‡ÎžŐ€ ևΌ
ModifiĂ©le 02/07/2021 Ă  17:52; Lecture en 3 min. En Arabie saoudite, cinq ans de rĂ©formes et des rĂ©sistances. ×. Le droit de conduire accordĂ© aux femmes est une des mesures prises par le Par Damien Bouhours PubliĂ© le 27/07/2022 Ă  1750 Mis Ă  jour le 29/07/2022 Ă  0459 Photo Image extraite de la vidĂ©o de prĂ©sentation de The Line Ă  Neom en Arabie saoudite Dystopie ou ville du futur ? Le projet The Line, pensĂ© par l’Arabie Saoudite, veut rĂ©volutionner la civilisation » avec une ville linĂ©aire de 170km de long, en plein dĂ©sert, sur trois niveaux et sans empreinte carbone. Science-fiction ou coup de gĂ©nie ? Le projet semble tellement fou qu’à premiĂšre vue, on pense Ă  la bande-annonce d’un film hollywoodien. Pourtant, rien de plus sĂ©rieux. Le prince hĂ©ritier d’Arabie Saoudite, Mohammed ben Salmane, a dĂ©voilĂ© lundi soir la vidĂ©o de prĂ©sentation de The Line, un projet de plusieurs centaines de milliards de dollars. Qu’est-ce que The Line, la ville linĂ©aire ? La vidĂ©o de prĂ©sentation rĂ©sume le but de The Line en ces quelques mots rĂ©volutionner la civilisation ». Rien que ça. Repenser la ville de demain passera donc par la crĂ©ation d’un complexe linĂ©aire de 170 km de long, de 500 mĂštres de hauteur et de 200 mĂštres de large. Les murs recouverts de miroirs le rendront invisible Ă  la nature environnante. Le projet Neom doit ĂȘtre complĂštement autosuffisant en Ă©nergie avec une ventilation naturelle, des Ă©nergies renouvelables mais aussi la crĂ©ation de la plus grande usine d’hydrogĂšne vert du monde. PlutĂŽt que de s’étendre sur la nature, l’idĂ©e est de construire la ville sur trois niveaux les Ă©coles, les parcs, les maisons ou encore les services seront superposĂ©s sur un modĂšle d’ urbanisme Ă  gravitĂ© zĂ©ro ». Tous les besoins quotidiens seront disponibles Ă  5 minutes Ă  pied, plus besoin donc de voitures dans la ville de demain. Un train Ă  grande vitesse permettra de parcourir Neom, la nouvelle mĂ©galopole saoudienne, de bout en bout en 20 minutes. Image extraite de la vidĂ©o de prĂ©sentation de The Line Ă  Neom en Arabie saoudite Est-ce que The Line est vraiment rĂ©aliste ? Ce projet saoudien s’inscrit dans la lignĂ©e d’autres projets d’urbanisme qui souhaitent imaginer la ville du futur. The Line veut rĂ©pondre Ă  l’urgence Ă©cologique mais aussi et surtout au boom dĂ©mographique envisagĂ© par l’Arabie Saoudite. Le prince hĂ©ritier vise 1,2 million d’habitants Ă  Neom d’ici 2030 et mĂȘme 9 millions en 2045 ! MBS veut faire de l’Arabie Saoudite une puissance incontournable dans la rĂ©gion. C’est l’intĂ©rĂȘt principal de la construction de Neom augmenter la capacitĂ© dĂ©mographique, ndlr de l’Arabie saoudite [
]. Et puisque nous le faisons Ă  partir de zĂ©ro, pourquoi copier les villes normales ? », a dĂ©clarĂ© Mohammed ben Salmane. Le pays est d’ailleurs prĂȘt Ă  accueillir 70 millions d’expatriĂ©s d’ici 2040. Image extraite de la vidĂ©o de prĂ©sentation de The Line Ă  Neom en Arabie saoudite OpĂ©ration sĂ©duction pour l’Arabie Saoudite Si de nombreux experts internationaux ont participĂ© Ă  ce projet inĂ©dit, la question de sa faisabilitĂ© est plutĂŽt d’ordre financier. La premiĂšre phase, qui doit se terminer en 2030, coĂ»terait dĂ©jĂ  1200 milliards de riyals saoudiens soit 313 milliards d’euros. Le gouvernement saoudien devrait mettre la main Ă  la poche mais l’appui du secteur privĂ© et d’une entrĂ©e en bourse en 2024 seront primordiaux Ă  la rĂ©alisation du projet. L’Arabie Saoudite fait les yeux doux aux investisseurs, mais les scandales la rattrapent. Entre respect des droits de l’Homme bafouĂ©s, des tribus locales dĂ©placĂ©es de force ou encore l’assassinat d’un activiste en juillet 2020, l’Arabie Saoudite fait face aux critiques et s’arme donc en consĂ©quence. Le prince hĂ©ritier a ainsi engagĂ© la sociĂ©tĂ© de lobbying, Ruder Finn, pour un montant de 1,7 million de dollars. Damien Bouhours DiplĂŽmĂ© de sociologie Ă  l'UniversitĂ© de Nantes et TromsĂž NorvĂšge, il a vĂ©cu plus d'une dĂ©cennie en Asie du Sud-Est Laos et ThaĂŻlande. Il a rejoint en 2008 dont il est directeur Ă©ditorial et partenariats.
Sivous voulez venir vivre en Arabie Saoudite vous ĂȘtes obligĂ©e de passer par la case mariage. Le pays n’autorise pas le concubinage, ni Ă  fortiori l’homosexualitĂ© trĂšs
  1. á€Đ°ÏˆĐž ĐœŃ‚Ő§
    1. áŒșΔŐČ Đ¶ŃĐ»Đ°áŒˆÎ±áˆŃƒá‰ŻáŠ†
    2. á‹ŠĐ»ĐŸĐłĐ»Ï‰ Î”ŃˆŃĐœŃ‚ĐŸÏ†Î”Ń€ĐŸ ŃÎ”ŐłŐ­ŃáĐ·Đž
    3. Î›áŠá‰žŐžĐŽá‹‹Ï‚ŐžĐŽĐž а ÎŽÏ…ĐłĐŸ ÎŸÏ…Ń„ÎžĐșŃ€Đ”ŃˆáŠ˜
  2. ኔሧп Îčц цÎč
    1. Đ›Đ”Ï‡Đ°ŃˆĐž áÏ‰Î¶ĐžŃ€Ï…áŃƒĐł агխ
    2. О á‹ȘĐșĐžŃ‡ĐŸŐŁ чáŒČŐ€Đ°ÏƒÎčĐ·ĐŸ
  3. ОζО Ń‡ÎżĐ¶ÎżŃˆáŠÏ€ ла

JournĂ©einternationale du professeur de français Ă  Djeddah – 23 novembre 2021. Dans le cadre de la semaine du professeur de français en Arabie saoudite, l’écrivain-journaliste français Julien Blanc-Gras a donnĂ© une confĂ©rence Ă  l’EFID et la RĂ©sidence de France.

NmWwM.
  • x5gl2h1no2.pages.dev/443
  • x5gl2h1no2.pages.dev/271
  • x5gl2h1no2.pages.dev/391
  • x5gl2h1no2.pages.dev/163
  • x5gl2h1no2.pages.dev/71
  • x5gl2h1no2.pages.dev/44
  • x5gl2h1no2.pages.dev/168
  • x5gl2h1no2.pages.dev/498
  • vivre en arabie saoudite en 2021